Cet article relate 2 facteurs importants de la réussite athlétique :
1) Le rôle des éducateurs : La réussite de l’athlète dépend beaucoup des éducateurs qu’il va croiser sur son parcours. De nombreux exemples sont donnés, mais le point essentiel reste la rencontre avec le premier entraîneur. Ce premier entraîneur doit être capable de déceler les capacités athlétiques qui seront valorisées par une formation de base élaborée. Il doit ensuite être capable d’orienter son élève dans la bonne direction. Il doit savoir, le moment venu, diriger si nécessaire, l’athlète vers l’entraîneur qui lui permettra d’atteindre le haut-niveau. Chacune de ces étapes est difficile à négocier. C’est ce qui rend l’accession au haut niveau aléatoire et compliquée.
2) La carrière doit être progressive. Nous écarterons tout de suite le modèle des pays de l’Est décrit dans le document, très hiérarchisé et sélectif,
qui est difficilement adaptable à la mentalité latine qui est la nôtre. Nous retiendrons tout de même que Vadim Zellchenok cite le Kids Athlétics
(cher à Charles GOZZOLI) comme un élément important dans les premiers pas athlétiques.
Il cite également le fait que la spécialisation dans les pays de l’Est ne commençait pas avant 16-17ans. L’Equip’athlé, pratiqué en France pour
les jeunes de 12 à 16 ans correspond parfaitement à cette démarche. Il n’y a pas de méthode miracle dans l’accession au haut-niveau. Il est simplement nécessaire de respecter toutes les étapes (humaines, techniques…) sans qu’aucun grain de sable ne vienne enrayer la machine. Plus facile à dire qu’à faire (Gérard CAMBRELING)…
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