La question est rarement abordée ;
quand elle l’est, il est souvent trop tard.
On oriente les enfants sans tenir compte
de ce qui constitue leur(s) point(s)
d’attache et leur demande.
De plus, la maturité psychologique
dont peut témoigner un jeune ne peut être
confondue avec la maturité physiologique
ou technique dont il fait preuve sur
un terrain. A l’âge ou le taux d’abandons
devient un phénomène observé
et observable par tous, il convient
de réfléchir et de tenter de comprendre
ce qui du point de vue de notre démarche,
peut constituer un facteur accélérateur.
L’entraîneur a tout à gagner dans
cette connaissance du fonctionnement
intime de l’enfant ; car « pouvoir,
c’est avant tout vouloir ».
Des épreuves multiples à la spécialisation : la prise en compte de la dimension psychologique
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CONGRÈS INTERNATIONAL DES ENTRAÎNEURS D’ATHLÉTISME
NADINE DEBOIS
Mars 2004-N°173
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